« Working hard to get my fill, everybody wants a thrill... »

Invité **Invité**

Je la vis sourire, ce qui me fit par automatiste continuer à sourire. Je ne saurais dire pourquoi mais ça me faisait plaisir qu’elle pense à venir nous voir jouer, peut être car elle a côtoyer un grand de la musique ou surement car j’ai envie d’avoir l’avis d’une musicienne, une grande musicienne, je m’étais renseigné depuis notre entretien, enfin mon entretien pour le job et j’ai regardé plusieurs vidéo d’elle, pour cela je remercie internet mais j’ai pu voir le talent qu’elle avait et j’aimerais si un jour elle en trouve le courage la revoir jouer.

Ce serait avec plaisir ! Dès que j'aurai trouvé quelqu'un pour les garder ponctuellement une soirée, je viendrais. Tu n'auras plus qu'à me donner l'heure et le lieu.

Je la regardais toujours, la vis tenir un peu plus sa fille contre elle, j’avoue que j’avais oublié ce petit détail, mais je mis en route mon cerveau car oui oui j’en ai un. Je réfléchis à toute allure et me vint l’idée du siècle, comme si j’avais une magnifique ampoule jaune qui venait d’apparaitre au-dessus de ma tête, internet bien sûr, on a dut nous filmé du moins je l’espère sinon ça voudrais dire que nous sommes pire que insignifiant. Je sors de ma petite sacoche de mec mon mini pc portable et je trouve des vidéos, j’en fais charger une et la met sous les yeux de ma patronne.

Ah défaut de venir pour le moment vous pouvez le voir ici. (Click ici et à partir de 1:00 ca fait pas toute la video t'en fais pas)

Je regarde ses réactions mais je me lève et part voir le petit Léopold et le prend dans mes bras pour aller le changer. Je prends soin de ce petit et le garde un moment contre moi une fois qu'il est propre, par moment il me tenait fortement avec ses petites mains, son père lui manque mais il ne le montre pas à sa mère, comme ci il comprenait que ça pouvait lui faire du mal.

Jonathan resta silencieux quelques instants, cherchant tout comme moi une solution pour que je puisse venir sans laisser les enfants tout seuls. J'allais bien trouver quelqu'un pour un soir, ce ne serait pas un problème, il faudrait juste que je fasse attention à la personne que je choisirais. Ella pourrait peut-être m'aider, mais je doutais qu'elle serait disponible pour une soirée, elle travaillait énormément ces derniers temps.
Soudain, le jeune homme se jeta sur sa pochette et sortit son ordinateur portable en l'allumant à toute vitesse. Je compris instantanément ce qu'il allait faire. Essayer de me trouver une vidéo du groupe, pour que je puisse voir ce qu'ils faisaient tous ensemble.

Ah défaut de venir pour le moment vous pouvez le voir ici.

Je souris en le remerciant et commençai à regarder la vidéo de mauvaise qualité, mais suffisamment bonne pour que je puisse écouter et regarder la scène. Jonathan resta quelques instants avec moi mais s'empressa d'emmener Leopold pour le changer. Je me doutais qu'il n'aimait sûrement pas se regarder et s'écouter jouer, ce que je pouvais parfaitement comprendre, je détestais cela aussi. Pendant que les deux hommes de la maison étaient absents, je regardais la vidéo avec Johanna, qui semblait intéressée par ce qu'elle voyait. Le groupe était vraiment bon. Ils étaient doués, et ils aimaient ce qu'ils faisaient, ça se voyait comme le nez au milieu du visage. J'avais raison quand je disais qu'ils devraient se professionnaliser.
Je me repassai la vidéo une deuxième fois et montrai à Johanna ce que faisait Jonathan, en lui disant que son papa faisait la même chose, quand il était encore là. Elle regardait l'écran avec adoration, et je sentais qu'elle aimait ce qu'elle voyait. Viendrait un jour où je lui montrais quand son père faisait la même chose... elle adorerait encore plus cela...

Plus tard, Jonathan revint dans le salon avec Leopold dans les bras. Je le regardai avec un grand sourire, pour bien lui montrer que j'avais adoré ce que j'avais vu ! Il s'assit de nouveau à côté de moi et je lui rendis son ordinateur en souriant.

- C'était génial ! Vous êtes brillants ! Bien sûr, l'ambiance n'est pas la même que quand on est dans le bar... mais c'est génial ! Vous avez une bonne énergie et la musique est parfaite !

Invité **Invité**

Après que le petit Léo ce sente rassurée par ce que je pouvais dégager je retourne dans le salon, le petit monstre toujours dans mes bras et me demande qu’elle réaction aura sa mère après le visionnage de la vidéo et le fait que je ne lui ai jamais dit que je chantais.
J’entre dans le salon et la vis alors sourire, mais je parle d’un large sourire, d’un vrai sourire pas d’un faux qu’elle pouvait me servir à toutes les sauces inimaginable du tout début et je dois l’avouer, son sourire me rassura.

C'était génial ! Vous êtes brillants ! Bien sûr, l'ambiance n'est pas la même que quand on est dans le bar... mais c'est génial ! Vous avez une bonne énergie et la musique est parfaite !

Je range le pc gardant le petit Leo dans mes bras et regarda sa mère alors qu’il se pose tranquillement contre moi, ayant besoin d’un câlin.

C’est sur l’ambiance n’est pas la même, ça sent moins la bière …

Je me mis à rire un peu de la stupidité que je venais de dire, faut dire que je suis fatigué, j’ai tout enchainé et je pense encore à cette fille qui s’est retrouvé aux urgences et à Ella qui s’occupe d’elle.

Pour ce qui est d’être brillant j’en suis pas convaincue tout comme la musique que vous citez de parfaite … a vrai dire je suis d’accord qu’avec le point de l’énergie, ont en avaient à revendre, ont aiment la musique et elle nous le rend bien je crois et je serais pire que prétentieux si je venais à dire qu’on est les meilleurs ou autre, je nous voit toujours comme des débutant qui aiment faire de la musique.

Je la regarde et sourit, son regard me traitait de fou et c'est un peut ce que je suis. Je regarde le petit monstre dans mes bras qui est bien calé et le câline, je le protégerais le temps qu'on m'accordera de le faire

Alors que Jonathan rangeait son ordinateur, je posai les yeux sur Leopold, qui semblait tout triste. Je me doutais qu'il n'allait pas fort ces derniers temps. Il avait l'air de vraiment apprécier la présence de Jonathan, et j'appréciais cela aussi. Ca lui faisait du bien, et tant mieux !

C’est sur l’ambiance n’est pas la même, ça sent moins la bière …

Jonathan se mit à rire et je ne pus que le suivre. Je devais avouer que je préférais tout de même être chez moi, juste pour ne pas avoir cette saleté d'odeur de bière collée à mes fringues. C'était assez horrible.

Pour ce qui est d’être brillant j’en suis pas convaincue tout comme la musique que vous citez de parfaite … a vrai dire je suis d’accord qu’avec le point de l’énergie, ont en avaient à revendre, ont aiment la musique et elle nous le rend bien je crois et je serais pire que prétentieux si je venais à dire qu’on est les meilleurs ou autre, je nous voit toujours comme des débutant qui aiment faire de la musique.

Je le regardai d'un air réprobateur. Il ne devait pas négliger mes remarques. Je disais quelque chose de très vrai. Il venait d'avoir l'avis d'une professionnelle et non pas de la mère des enfants qu'il gardait le soir. J'étais redevenue pour quelques minutes la violoniste, la prof de violon, la professionnelle.

- Crois-moi, quand je te dis que vous êtes excellents ! C'est sincère, et véritable. Et dis-moi... tu m'avais caché le fait que tu chantais, jeune homme ! Tu es plutôt doué !

Invité **Invité**

Je prends toujours soin du petit qui me regarde de temps en temps, je lui caresse son petit dos et tente de le faire sourire même si ce n’est qu’un petit sourire mais je regarde sa mère quand elle me parle

Crois-moi, quand je te dis que vous êtes excellents ! C'est sincère, et véritable. Et dis-moi... tu m'avais caché le fait que tu chantais, jeune homme ! Tu es plutôt doué !

JE souris, je voyais une vraie professionnelle devant moi et regarde la petite Johanna qui imitais sa mère, deux femme avec un caractère qui leur est propre, c’est beau à voir. Puis quand elle me parle de moi chantant j’en sais rien, ça me fait bizarre, je l’ai pas vraiment caché, je suis pas habitué

Je ne chante pas d’habitude, je ne suis que le guitariste au fond de la pièce, les stars du show sont plus les autres, c’était occasionnelle, je ne trouve pas que j’ai bien chanté, c’était du potable, un coup de chance aussi …

Elle me tape derrière la tête ce qui fit rire Léopold et elle me demande alors de lui faire confiance quand elle me dit quelque chose et je lui souris.

Bien, je ne dirais plus rien sur mes compétences … mais pour me pardonner, puis je vous proposer de faire le diner ?

Jonathan semblait amusé par mon comportement. En même temps, je n'allais pas lui dire des conneries, alors que je pouvais l'encourager dans sa voie. Il fallait qu'il continue avec son groupe, même si, je l'avais bien compris, il ne souhaitait pas faire carrière. A un moment, il faudrait bien qu'il choisisse et je savais qu'il ne choisirait pas la carrière musicale.

Je ne chante pas d’habitude, je ne suis que le guitariste au fond de la pièce, les stars du show sont plus les autres, c’était occasionnelle, je ne trouve pas que j’ai bien chanté, c’était du potable, un coup de chance aussi …

Je ne pus m'empêcher de lui taper gentiment sur l'arrière de la tête pour le contredire et le faire arrêter ses bêtises. Il chantait bien, j'avais une oreille presque absolue, il ne pouvait pas me dire le contraire, pour ça j'en étais sûre. Je repérais la moindre fausse note, et ni lui, ni le chanteur habituel n'avaient fait d'erreurs. C'était parfait, pour des amateurs.

Bien, je ne dirais plus rien sur mes compétences … mais pour me pardonner, puis je vous proposer de faire le diner ?

Je lui fis un grand sourire avant d'accepter en hochant la tête. J'étais contente qu'il le propose, ça me faisait très plaisir. J'avais l'impression qu'il aimait bien être ici, qu'il se sentait à l'aise. C'était une bonne chose pour lui comme pour les enfants. Et puis, sa présence me faisait du bien, malgré tout. Il était adorable et très intelligent, et je pouvais enfin parler à quelqu'un, c'était agréable.

- Vu que tu cuisines vraiment bien, ce sera avec plaisir, fais comme chez toi, comme d'habitude !

Invité **Invité**

Je la regarde sourire, c’était vraiment plus agréable de recevoir un sourire sincère qu’un faux.

Vu que tu cuisines vraiment bien, ce sera avec plaisir, fais comme chez toi, comme d'habitude !

Je souris à mon tour, je ne nierais pas mes talents pour les cuisines, ils sont moindre mais j’aime cuisiner et puis j’ai dut me débrouiller rapidement aussi étant jeune. Je me lève et regarde le petit monstre toujours dans mes bras.

Alors mon petit monstre tu restes pour un câlin avec maman ou cuisine avec moi ?

Il me fixe, fixe sa mère, fait ce schéma plus d’une fois et je souris et l’embrasse sur sa tempe

Tu as raison mon bonhomme moi aussi je resterais dans les bras de ma maman surtout quand elle est jolie comme la tienne.

Il part ce faire une place près de sa sœur contre sa mère et je file dans la cuisine, je regarde ce qu’il y a dans les placards et bien entendu le frigo et je me lance dans un plat signé Monsieur Anderson. Je suis dans le coupage de mes légumes quand je vois Madame Polloni me rejoindre dans la cuisine et me regarder faire.

Il m'adressa un sourire en retour, fier de lui. Il pouvait l'être, parce qu'il cuisinait encore mieux que moi alors que j'avais dix ans de plus. Il était doué pour ça aussi, peut-être que s'il ne continuait pas la musique, il pourrait se reconvertir dans la cuisine.

Alors mon petit monstre tu restes pour un câlin avec maman ou cuisine avec moi ?

Il parlait à Leopold en lui disant cela et je vis mon fils regarder Jonathan puis le canapé, et ainsi de suite, et au final, il me regarda, comme pour faire comprendre à Jon qu'il allait rester avec moi. Je souris doucement en le regardant s'agiter vers moi.

Tu as raison mon bonhomme moi aussi je resterais dans les bras de ma maman surtout quand elle est jolie comme la tienne.

Je ne pus m'empêcher de rougir quand je l'entendis me complimenter. Cela faisait longtemps qu'un homme ne l'avait pas fait, et je devais bien dire que ça me faisait tout drôle et qu'en même temps, c'était une douce sensation qui me plaisait. Je câlinai longtemps Johanna et Leopold et quand ces derniers en eurent marre, je les laissai aller jouer tous les deux, avant de rejoindre Jonathan dans la cuisine. Il était affairé devant le plan de travail et je pus m'adosser au mur et le regarder faire.

- Les enfants t'adorent, tu sais ? Ils t'aiment beaucoup. Et ils sont très contents de t'avoir tous les soirs. Une présence masculine leur manque...

Invité **Invité**

Je me sens alors observé et pourtant cela ne me déconcentre pas, je la regarde juste de temps en temps quand je prends des épices pour voir si elles les aiment ou pas pour que le repas soit bon tout de même.

Les enfants t'adorent, tu sais ? Ils t'aiment beaucoup. Et ils sont très contents de t'avoir tous les soirs. Une présence masculine leur manque...

Je me mis à sourire automatiquement dès que je l’ai entendu dire que les petits monstres m’appréciaient, c’était un grand soulagement pour moi, car dans mon rôle on doit plaire aux parents certes c’est eux qui payent mais aussi aux petits et ce sont ces derniers les plus durs.

Je les aime aussi beaucoup en retour, je dois l’avouer j’ai eu un peu peur le premier jour, je me doutais que Johanna serait douce mais pour Leopold je ne savais pas trop à quoi m’attendre mais il est adorable et j’aime les retrouver chaque soir, le sourire d’un enfants peut guérir et apaiser pas mal de blessure je trouve.

Je ne mentais pas, je m’étais vraiment beaucoup attaché à ces petits et si ils vont mal je me sentirais pas, je penserais aussi que je fais mal mon boulot car je dois prendre soin d’eux, de leur bien être, d’une partis de leur épanouissement. Cependant elle me parle de présence masculine, certes je suis un homme, ma voix grave peut imposer un peu plus en les impressionnant, mais loin de moi l’idée d’avoir ou de leur faire penser que je suis leur père, oui je suis attaché à eux, ont a une complicité tous les trois mais si par erreur ils m’appellent papa je rectifierais le tire rapidement.

Je ferais de mon mieux je vous le promet, je tiens beaucoup à ces petits, et … je ferais de mon mieux pour qu’ils sachent que leur père était un homme comme il y a très peu sur cette terre … et que quoiqu’il puisse ce passer, je ne ferais jamais l’erreur de me prendre pour leur père.

Je voyais que ma remarque faisait plaisir à Jonathan. Il était content que les enfants l'adorent. C'était plus que ça. Parfois, ils me demandaient s'ils allaient voir Jonathan le week-end... c'était très drôle à entendre, ils ne pouvaient plus se passer de lui. Ils l'avaient adopté. Au moins, ainsi, j'étais sûre qu'ils s'entendaient bien et que tout se passait très bien entre eux le soir.

Je les aime aussi beaucoup en retour, je dois l’avouer j’ai eu un peu peur le premier jour, je me doutais que Johanna serait douce mais pour Leopold je ne savais pas trop à quoi m’attendre mais il est adorable et j’aime les retrouver chaque soir, le sourire d’un enfants peut guérir et apaiser pas mal de blessure je trouve.

Je ne pus m'empêcher de sourire. Il ne savait pas ô combien il avait raison de dire ça. Mes blessures étaient pansées tous les jours grâce à mes enfants, même s'ils les ravivaient aussi, dès que je les comparais à leur père. C'était normal, et ça finirait par se calmer. Au fil du temps, j'irais mieux et je pourrais vivre de nouveau normalement. Il fallait du temps, justement.

Je ferais de mon mieux je vous le promet, je tiens beaucoup à ces petits, et … je ferais de mon mieux pour qu’ils sachent que leur père était un homme comme il y a très peu sur cette terre … et que quoiqu’il puisse ce passer, je ne ferais jamais l’erreur de me prendre pour leur père.

J'étais contente de savoir qu'il tenait aux enfants, de son côté aussi. C'était bien, il y avait une réelle alchimie entre ma petite famille et lui. J'étais fière que tout se passe bien. Quant au fait qu'il ne se prendrait jamais pour leur père, je lui faisais confiance. Personne ne pourrait jamais remplacer leur papa, et je ne le voulais pas non plus. Matthew était un homme exceptionnel, l'homme de ma vie, et je ne l'oublierais jamais, bien entendu... mais si un jour, un homme devait me charmer, c'était clair qu'il ne serait jamais le père de mes enfants.

- Ne t'en fais pas, ils le savent et ils le sauront toujours. Non, je pense que tu es comme un grand frère pour eux. Je leur parle de leur père tous les jours, je leur montre des photos, il est partout avec nous... et même s'il me manque, j'essaye d'avancer pour eux...

Invité **Invité**

Je coupe mes petits légumes et les met dans mon eau qui commence à bouillir.

Ne t'en fais pas, ils le savent et ils le sauront toujours. Non, je pense que tu es comme un grand frère pour eux. Je leur parle de leur père tous les jours, je leur montre des photos, il est partout avec nous... et même s'il me manque, j'essaye d'avancer pour eux...

Je la regarde et souris, elle en avait conscience qu’elle devait avancer pour elle mais aussi pour les petits monstre qu’elle a mis au monde. Je me mets pourtant à sa place, ça doit pas être évident de passer de deux un jour à un l’autre jour pour élever deux petits en bas âges, je crois bien que peu de mère arrive à le supporter seule, elles font appel à de la famille ou amis mais quelque chose me dit qu’elle n’a fait appel à personne, elle me parait et je la vois comme une femme forte avec son petit caractère mais que sous la carapace qu’elle montre et affiche à tout le monde, elle doit être douce comme je peux le voir quand elle est avec les petits bouts. En parlant d’eux je les vois arriver et je souris, ils se doutent que l’heure du diner approche mais il faut attendre encore un peu surtout que je tente un petit plat pour Johanna et prépare le biberon au cas où qu’elle me recrache tout à la figure.

En tout cas, vous pouvez compter sur moi si jamais vous avez besoin d’aide ou tout simplement d’un soutien je serais là, mais penser aussi à avancer pour vous, vous avez toujours une vie en dehors d’être maman si vous avez besoin d’extra de ma part comme un soir ou vous avez envie de sortir hésiter pas non plus.

Le regard que me fit Jonathan me fit sourire. Il m'encourageait dans cette voie, dans la voie de l'avancée, des nouvelles rencontres. Il ne voulait pas m'ordonner quoi que ce soit, mais je savais qu'il était content que je prenne cette initiative.
Soudain, les enfants débarquèrent dans la cuisine et vinrent se coller à mes jambes. Je souris en les regardant faire, c'était comme si eux aussi avaient compris ce qui se tramait et qu'ils voulaient me montrer qu'il fallait que je me trouve quelqu'un. De toutes façons, ils n'avaient pas connu leur père, alors ils se fichaient bien de savoir si leur véritable père était un inconnu ou bien Matthew..

En tout cas, vous pouvez compter sur moi si jamais vous avez besoin d’aide ou tout simplement d’un soutien je serais là, mais penser aussi à avancer pour vous, vous avez toujours une vie en dehors d’être maman si vous avez besoin d’extra de ma part comme un soir ou vous avez envie de sortir hésiter pas non plus.

Je souris en le remerciant d'un regard. Il était trop gentil avec moi, je ne le méritais pas. Je l'appréciais vraiment énormément, il me rappelait James à l'époque, quand il était encore en vie. Il était un peu plus âgé, un peu plus mature, mais vraiment similaire.

- Merci Jonathan. Merci beaucoup, je sais que je peux compter sur toi... Je suis heureuse de te connaître.

Invité **Invité**

Je la regardais sourire sincèrement aux deux petits monstre qui ce collaient à ses jambes, pensant alors qu’ils devaient être d’accord avec moi, et que de voir leur maman heureuse ne devrait pas leur déplaire. Ils ne pourraient que s’épanouir tous les trois que d’avantages et puis si elle se trouve un autre prince charmant, je leur ferais mon au revoir et les laisserais profiter de leur vie.

Merci Jonathan. Merci beaucoup, je sais que je peux compter sur toi... Je suis heureuse de te connaître.

Je suis très heureux d’avoir fait votre connaissance aussi, ainsi qu’aux deux petits monstre qui ce cachent derrière vos jambes.

Je souris sincèrement et prend la petite Johanna qui veut s’assoir, je la vois m’observer alors je ramène mon couteau et ma viande près d’elle et lui montre tout en lui expliquant ce que je faisais et comme elle est curieuse elle écoute et pose ses petites mains sur les miennes pour m’aider.

Je me suis vraiment attaché à ces petits, bien plus qu’aux autres dont j’ai pu m’occuper en Irlande, c’était différent aussi, là bas j’étais dans une cité ou nous étions pour la plus part des orphelins ou alors on se considérait comme tel car nos parent s’en moquait de notre existant car ils s’enivraient aux drogues dur ou à l’alcool, et en grandissant j’ai pris en main un peu les choses, je m’occupais d’eux tel un grand frère, je les aidaient, les nourrissaient pour certains je leurs payer l’école, d’où pourquoi j’ai choisis le métier que j’ai actuellement, car il paie bien et vite, je l’ai pas choisis car je voulais le faire, c’est loin d’être mon rêve je l’ai pris pas dépit de choix et un besoin de vivre.

Je finis par éloigné tout objet dangereux de la petite puce et regarde du coin de l’œil ma cuisson de mes aliment tout en continuant à apprendre des petites chose par ci par là à la petite chose fragile et curieuse qu’est Johanna. Je regarde alors sa mère qui s’approche de nous avec son frère et regarde de plus près ce que je fais, ce que j’apprends à sa fille, ce que je pourrais faire quand elle est pas là et que je m’occupe d’eux durant son absence entre la sortis de la crèche pour eux et la fin de sa journée pour elle.

Le repas est bientôt près, les biberons aussi et si mademoiselle est d’accord, je lui ai fait un petit quelque chose en plat pour qu’elle goute.

Jonathan me répondit qu'il était également très heureux d'avoir fait ma connaissance, et d'avoir connu aussi mes deux enfants, qui alors se cachaient derrière mes jambes. Johanna se décolla de moi, et Jonathan s'en occupa, en lui montrant ce qu'il préparait et comment il faisait. Je l'observai attentivement, pour être sûre qu'il ne fasse rien de dangereux avec Johanna, même si je lui faisais confiance. Il lui fit poser ses mains sur les siennes quand il coupa la viande.
Pendant ce temps, je pris Leopold dans mes bras, et le câlinai encore. Il s'accrochait à mon chemisier avec force, il n'avait pas du tout l'intention de descendre de son perchoir. Je me rapprochai de Jonathan pour l'observer encore, et je vis qu'il avait bientôt terminé, vraisemblablement.

Le repas est bientôt près, les biberons aussi et si mademoiselle est d’accord, je lui ai fait un petit quelque chose en plat pour qu’elle goute.

Je souris en le remerciant d'un regard. Il était vraiment attentionné, et surtout il pensait à l'évolution et à la croissance de mes enfants, et c'était adorable. J'étais sûre que si c'était lui qui faisait manger Johanna, elle finirait son plat fait pour elle sans problème. Et je m'occuperai de Leopold, qui semblait vraiment vouloir rester avec moi, maintenant que je l'avais.

- Merci pour tout ce que tu fais. Ça sent très bon, ça va être encore délicieux.

Mon moral était au beau fixe ce soir-là, c'était incroyable, parce que ce n'était pas arrivé depuis longtemps, malheureusement. Jonathan m'aidait vraiment à avancer, un jour, je devrais le remercier pour m'avoir sortie de ma détresse...
/

Invité **Invité**

Je la regarde et souris sans qu’elle ait besoin de dire quoique ce soit je devinais qu’elle me remerciait, mais pour moi tout cela était naturelle je préférais mille fois m’occuper de ses petits monstre que de répondent aux moindres caprices des autres clientes qui veulent me pousser dans des trucs plus que bizarre.

Merci pour tout ce que tu fais. Ça sent très bon, ça va être encore délicieux.

Je continue de sourire et regarde la petite schtroumpfette qui réclame mon attention et la lui donne avec plaisir, elle était curieuse de savoir ce que je lui avais préparé, et pour l’embêter je ne lui réponds que je ne le lui dirais que lorsqu’elle aura gouté ce plat.

LA laissant perplexe et à se poser mille et une question je mets la table sous le regarde toujours de ma patronne et du petit Leopold qui s’accroche à elle comme un koala à son arbre. Une fois que tout est prêt je sers le repas et pose la petite Johanna dans sa chaise et lui met sa serviette, bref je fais ce qu’il faut. Je sers tout le monde mais attend le biberon de monsieur avant de m’installer à mon tour, comme d’habitude je vérifie la température et je souris en voyant le regard du petit en découvrant son biberon, c’est un vrai estomac sur pattes.

Je me pose entre les petits sur un côté de la table, en face de leur maman et m’occupe avec de la petite Johanna qui ouvre grand sa bouche pour que je lui fasse gouter. Elle avale une première bouchée et elle en redemande encore ce qui me flatte, car bon faire manger des légumes aux petits ce n’est pas si facile que ça, mais vu que je les ais camouflés elle ne voit rien et n’a donc pas d’aprioris sur l’aspect de sa nourriture. Je regarde alors sa maman qui s’occupe de son frère mais qui mange tout en même temps.

Cela vous plait ?

Jonathan ne répondit pas, mais me fit un nouveau sourire qui me fit chaud au coeur. Je savais que je pourrais toujours compter sur lui. Il était adorable avec moi, avec nous. Même si parfois j'aimerais qu'il se confie un peu plus, je ne pouvais pas lui en vouloir. Et puis.. il était comme il était, et je ne pouvais pas le changer. Je l'appréciais ainsi. Je n'avais rien à redire.

Plus tard, quand le repas fut prêt, Jonathan s'occupa de la table et mit le couvert et les assiettes. Je le laissai faire, puisque j'étais occupée avec mon fils, qui ne désirait véritablement plus me lâcher. Il faudrait bien pourtant, pour qu'il mange. Mais dès qu'il verrait son biberon, il me lâcherait. Pendant ce temps, Jonathan installa Johanna à table et lui passa sa serviette. Il servit chaque assiettes, la sienne également et me tendit le biberon de Leopold, que ce dernier porta directement à sa bouche, alors que j'étais à peine assise.
Je pus enfin goûter ce qu'il nous avait préparé, et je devais bien avouer qu'il avait également un talent certain pour la cuisine. En plus de sentir bon, c'était également excellent. Et ça, personne ne pouvait le nier. Même Johanna, qui pourtant n'était pas très légumes, sans être trop difficile, en redemandait, ce qui pouvait relever du miracle. Il m'épatait, réellement.

Cela vous plait ?

Je posai les yeux sur Jonathan. Oh que oui, ça me plaisait. J'aurais été prête à lui dire d'emménager ici rien que pour avoir droit à ses petits plats tous les jours. C'était excellent. C'était bien cuit, c'était... vraiment bon. S'il voulait se reconvertir dans la cuisine, il le pouvait, c'était définitivement sûr.

- C'est vraiment très bon. Bien réussi.

Je pris une nouvelle bouchée avant de reposer mes yeux sur Leo, qui lui, savourait son biberon avec délectation. Il n'en était qu'au début, lui, mais dès qu'il pourrait manger, j'étais sûre qu'il ne s'arrêterait plus. Il allait adorer les plats de Jonathan lui aussi.

- Tu es très doué. Tu as appris tout seul à cuisiner ?

Invité **Invité**

Je la regardais de temps en temps pour lire sur son visage lorsqu’elle prit une bouchée de son assiette mais je suis concentré aussi sur la petite chipie qu’est sa fille et qui me fait honneur en mangeant son assiette sans réclamer de biberon.

C'est vraiment très bon. Bien réussi. Tu es très doué. Tu as appris tout seul à cuisiner ?

Je souris ravis que cela lui plaise vraiment, mais aussi du compliment qu’elle me fait lorsqu’elle pense que je suis doué pour la cuisine. Je ne pensais pas vraiment l’être, je suis de nature gourmande, j’aime bien manger, gouter à différente et diverse saveur, les mélanger entre elles voir ce que ça donne, si c’est ou non comestible et bien entendu le partager. Cependant lorsqu’elle me demanda si j’ai appris tout seul, je regarde à ce moment-là que Johanna, un sourire de sa part me réchaufferait bien mon petit cœur qui venait de ce glacer rapidement et de ce fermer, tout comme mon visage je pense, mais ce n’est pas la première ni la dernière qui me posera des questions sur mon passé, alors j’ouvre de nouveau tout cela et la regarde.

Oui, je suis autodidacte comme on dit, j’aime apprendre de nouvelle chose dans diverse branches, et comme je suis gourmand la cuisine n’y a pas coupé

C’est aussi et surtout que je n’ai pas eu le choix, c’était soit j’apprenais à me faire des repas soit à fouiller dans les poubelles de restaurant pour avoir au moins un truc dans le ventre et assurer ma survie pour une nuit.

Je vis de l'amusement passer sur le visage de Jonathan, mais aussi du ravissement et de la peine. Je ne savais pas vraiment ce que j'avais dit pour le peiner, et j'en étais désolée sans même savoir pourquoi. Il resta silencieux quelques instants, et je fis semblant de n'avoir rien vu. Je portai mon attention sur Leopold et ne dis rien de plus, de peur de trop en dire une fois encore.

Oui, je suis autodidacte comme on dit, j’aime apprendre de nouvelle chose dans diverse branches, et comme je suis gourmand la cuisine n’y a pas coupé

Il avait repris un ton normal et je fis une encore semblant de rien. Je ne voulais absolument pas lui faire du mal au contraire. Il ne méritait pas ça. Je voulais qu'il soit heureux ici, parce que j'avais bien l'impression que ce n'était pas forcément le cas ailleurs. Je ne savais pas ce qu'il faisait de ses journées quand il ne surveillait pas mes enfants, mais ça ne devait pas être une partie de plaisir. Il avait constamment des cernes, toujours. Et ça en devenait presque affolant, même si je ne lui disais rien et que je ne demandais rien.

- C'est bien, c'est très bien... je suis mauvaise cuisinière, personnellement. Je ne fais que des choses vraiment très simples. Avant c'était Matthew qui cuisinait, la plupart du temps.

Invité **Invité**

Je regarde toujours un peu plus la petite, je m’en voulais un peu de lui mentir, mais lui dire la vérité reviendrais à perdre le seul job que j’ai en ce moment qui m’apaise et me donne un peu de douceur grâce aux sourires des petits, de leur soif d’apprendre et bien sûr de leur rire. Comparer à être trimbaler n’importe où et ce forcer à coucher avec d’autre femme, c’était le meilleur des jobs.

C'est bien, c'est très bien... je suis mauvaise cuisinière, personnellement. Je ne fais que des choses vraiment très simples. Avant c'était Matthew qui cuisinait, la plupart du temps.

Je baissa la tête un cours instant, je m’en suis voulu de lui rappeler alors un souvenir avec son défunt mari, elle m’en parler que très peu voir jamais, je sais et me doute que cela lui est pénible et encore trop frais pour qu’elle en parle ouvertement surtout avec moi son employé, mais je faisais de mon mieux pour l’aider justement, qu’elle repense un peu plus à elle, aux petits aussi bien entendu mais elle aussi à droit de vivre et de connaitre le bonheur de nouveau, certes je ne connaissais pas Matthew mais je pense sincèrement qu’il voulait qu’elle soit heureuse lui aussi.

Si vous le souhaitez je vous apprendrais, je vous jure que c’est moins dur qu’on le pense et puis si vous êtes gourmande ça sera encore plus simple.

Je lui fis un large sourire, franc et sincère, ca me dérangeait pas de prendre sur mon temps libre les week end par exemple pour lui apprendre quelque truc en cuisine, loin de là, j’en serais ravis.

Je fixai Jonathan alors qu'il baissait la tête, quand je parlais de Matthew. Je savais que ça devait un peu le gêner, parce que je ne parlais jamais de lui, ou du moins j'essayais de ne pas le faire. Je n'en parlais que lorsque j'étais obligée. Mais il fallait bien que j'avance un jour ou l'autre. Et que je puisse en parler, pour exorciser un peu tout ça. Alors autant commencer maintenant.
Après ce qu'il s'était passé à la fac, cette étudiante qui m'avait posé des questions, il me semblait presque normal que je tente d'en parler. Et Jonathan était la personne idéale pour ça, parce que je savais qu'il ne raconterait rien à personne, parce qu'il m'écouterait, parce qu'il m'aiderait...

Si vous le souhaitez je vous apprendrais, je vous jure que c’est moins dur qu’on le pense et puis si vous êtes gourmande ça sera encore plus simple.

Il me fit un grand sourire, et je ne pus que lui retourner. Il était adorable avec moi. Et là, il parlait de faire encore plus de boulot ici, parce que m'apprendre à cuisiner, ce ne serait pas une mince affaire et ça prendrait du temps, ça c'était sûr. C'était trop gentil de sa part, et j'allais accepter avec joie, à n'en pas douter.
Après un regard à Leopold, je reposai mes yeux sur Jonathan et hochai la tête.

- Ce serait avec grand plaisir. Parce que pour l'instant, les enfants sont encore majoritairement au biberon, mais ils vont finir par grandir et avoir besoin de plats cuisinés. Et j'aurais bien besoin de leçons avant ce moment là. Alors je t'engage avec joie !

Leopold termina son biberon dans la foulée et je le pris contre moi pour qu'il digère tranquillement. Il ne bougeait plus, il était tout calme, il n'allait pas tarder à s'endormir pour la nuit, mon petit ange. Quant à Johanna, elle semblait aux anges. Elle avait presque fini son assiette et apparemment, elle adorait ça. Je n'en étais que plus ravie encore. C'était une excellente nouvelle...

Invité **Invité**

Je repose mon regarde sur la petite Johanna à qui j’aide avec qui je contrôle ses portions qu’elle prend car elle a tendance à prendre de grande bouchée cette petite, puis regarde sa mère à qui je continue de sourire.

Ce serait avec grand plaisir. Parce que pour l'instant, les enfants sont encore majoritairement au biberon, mais ils vont finir par grandir et avoir besoin de plats cuisinés. Et j'aurais bien besoin de leçons avant ce moment là. Alors je t'engage avec joie !

Le petit Léopold trouva rapidement sa place dans les bras de sa mère et je suis, je ne dirais pas surpris mais content de le voir calme, avec moi il bouge toujours un peu enfin sauf quand il se cramponne à moi de temps en temps. Sa sœur elle finit enfin son assiette et veut imiter son frère mais à défaut d’avoir les bras de sa mère elle vient chercher les miens et la pour le coup je l’avoue je suis surpris, c’était rare qu’elle vienne dans mes bras.

Ne m’engageais pas … je le fais avec une grande joie et au cas où vous vous le demandiez je le fais gratuitement. Par contre vous souhaiterez commencer par le salé ou le sucré, ou voir le mélange des deux, ou bien réussir à faire manger des légumes aux petits monstres ?

Je souris en regardant la petite Johanna qui avait tout manger sans se douter un seul instant que c’était des légumes, si elle avait su elle m’aurait demandé directement son biberon sans même le gouter. Mine de rien, je fier d’elle, elle a commencé à faire des pas vers le stade petite fille.

Leopold était bien calé dans mes bras, et je sentais qu'il allait y rester un bon moment, peut-être même jusqu'à ce qu'il s'endorme. Il faisait souvent cela quand il était fatigué.
Soudain, je vis Johanna faire de même avec Jonathan. Je souris en posant un regard tendre sur elle. Elle adorait Jonathan, ça ne m'étonnerait même pas qu'un jour elle me dise qu'elle voulait se marier avec lui, comme le font toutes les petites filles.

Ne m’engageais pas … je le fais avec une grande joie et au cas où vous vous le demandiez je le fais gratuitement. Par contre vous souhaiterez commencer par le salé ou le sucré, ou voir le mélange des deux, ou bien réussir à faire manger des légumes aux petits monstres ?

Je souris. Je savais bien qu'il me dirait ça, de ne pas l'engager et qu'il le ferait gratuitement. Mais il ne saurait pas combien je rajouterais sur son chèque à la fin du mois, en faisant ça. Je n'aurais qu'à mentir un peu, et il aurait de l'argent en plus pour ça. Même si c'était du volontariat, et qu'il faisait ça de bon coeur, je trouvais normal de lui donner quelque chose...

- Peu importe, montre moi ce que tu veux. Je serai ton élève. On échange les rôles, cette fois, tu seras le prof et moi l'étudiante.

Invité **Invité**

Je la câline la petite chipie qui est dans mes bras, tout comme son frère elle s’est bien calée et reste calme dans mes bras. J’en profite car ça me change du petit Leopold qui a la bougeotte quand je le tiens, il veut toujours faire quelque chose, et puis je sais aussi que lorsque ce dernier ne sera plus dans les bras de sa mère la petite Johanna ne voudra que ses bras.

Peu importe, montre moi ce que tu veux. Je serai ton élève. On échange les rôles, cette fois, tu seras le prof et moi l'étudiante.

Je la regarde et souris, c’est vrai que je n’avais pas pensé à cela, que je deviendrais son prof, j’avoue que je préfère me voir comme un ami qui rend service, qui aide son prochain mais pourquoi pas prof. Quoique ça voudrait dire que je suis payé et je refuse de l’être, mais connaissant un minimum la femme qui se trouve devant moi elle passera au-delà de ce que je lui ai demandé et m’ajoutera des sous à mon chèque.

Faites attention je peux être sévère comme professeur

Jonathan me sourit tendrement, et je savais qu'il acceptait mon offre. Et je n'allais certainement pas lui dire que je rajoutais de l'argent sur ma note. Je m'en fichais, il ne me le rendrait pas de toutes façons. Et il en avait besoin. Il devait penser à lui même d'abord. Et il le ferait !

Faites attention je peux être sévère comme professeur

Je rougis violemment mais ne baissai pas mon regard. Je ne m'attendais pas à ce qu'il me dise cela en réalité. Et s'il n'y avait peut-être aucun sous entendu, moi ça me rappelait une époque entre Matthew et moi, où nous étions assez violents entre nous, pour jouer, pour nous taquiner. Et ce que Jon venait de me dire m'y faisait lourdement penser.

- Je vais te prendre au pied de la lettre, alors... Et je ferai attention !

Invité **Invité**

Juste après ma réplique je la vis rougir ce qui je l’avoue me surpris, elle ne m’avait jamais donné cette habitude de la voir rougir, elle n’était pas comme Ella, du moins à mes yeux car Ella était timide et ne le cachait pas mais c’est ce qui fait alors son charme. Madame Polloni elle, donne image de femme forte, sûre d’elle-même et qui pense avant tout à ses enfants, ce qui peut séduire comme dérouter les hommes, mais je ne pensais pas un jour réussir à la faire rougir.

Je vais te prendre au pied de la lettre, alors... Et je ferai attention !

Je souris la regardant toujours, car même si ses joues devaient la bruler elle n’avait pas quitté un seul instant mon regard. Je lui fis un petit signe de tête avant que je sente une petite fille me taper sur le torse, et je regarde alors l’heure.

Je vais vous laisser en famille maintenant, que vous puissiez passer du temps avec vos enfants.

J’embrasse Johanna sur le front et la pose sur sa chaise, puis me lève pour embrasse le petit Léopold et remercie leur maman pour cette soirée que j’ai trouvée fort agréable. Puis sans rien demandé de plus je pars. Les jours passant ne fut pas de tout repos pour moi, hélas comme je le pensais, celui qui m’embauche à entendu le fait que j’ai repoussé déjà une ou deux fois des rendez-vous avec une de ses clientes qui paye le mieux et cela bien entendu ne s’est pas fait sans conséquences. J’ai dû travailler plus dure, j’ai dû jouer au serveur à moitié nu plus d’une fois, heureusement pour moi je n’ai eu besoin que de jouer le strip teaseur qu’une fois mais j’ai dû rattraper les retard avec cette cliente ce qui fait que j’ai lâché un peu la fac pour me rattraper et bien sûr être payé. Mais ses journées sans fac son pénalisante pour moi, du coup je bosse trois fois plus sur les cours de mon côté et m’occupe bien entendu avec une grande joie des enfants de Madame Polloni, c’est les seuls moments où je souris sans me forcer ces derniers temps.

Puis une fois mes cours rattrapé, ma dette remboursée car je n’ai pas tenue des rendez-vous car je voulais simplement être en compagnie de personne que je voulais, j’avais enfin du temps pour moi. J’en profite alors pour jouer avec le groupe, car j’ai tenu mon engagement avec eux chaque jeudi j’étais sur scène avec eux mais ils l’ont bien sentis que je n’étais pas au meilleures de mes performance, mais j’en ai profité surtout pour me rendre chez ma patronne un samedi, ce samedi pour commencer les cours de cuisine que je lui avais promis. Bien entendu avant de commencer les cours, je me suis occupé des petits, j’ai préparé quelque jeu le temps de les occuper durant l’apprentissage de leur maman, mais une fois occupé je m’occupe de leur maman, j’ai préparé plusieurs ingrédient pour la recette du jour, j’avais décidé de commencer par la pâtisserie car me doutant que ses enfants seront gourmands en grandissant, il n’y rien de meilleurs pour eux qu’un gâteau fait par leur maman. Je lui explique dans un premier temps la recette rapidement, puis lui montre les premiers gestes, je la regarde alors faire avec attention, elle mélange les ingrédients mais pour malaxer la pâte elle s’y prend mal, alors je m’approche d’elle, mon torse à quelque millimètre de son dos, pose chacune de mes mains sur les siennes, ma tête ce retrouvant à la droite de la sienne, et lui montre alors le geste précis qu’il faut avoir en malaxant la pâte avec elle.

Vous voyez ainsi, il y a plus d’air qui entre dans la pâte, et lorsque nous allons la laisser reposer elle se lèvera plus vite et la pâte pourra être mieux travaillée … bien entendu par la suite vous pourrez en acheter des toutes faites, mais quand c’est fait maison c’est meilleur …

Je souris, j’adore faire de la pâtisserie du moins quand j’en ai l’occasion et le temps, car en faire pour sois même et le déguster seul, ça n’a pas le même gout que de le partager avec des personnes qu’on aime et apprécie.

**Contenu sponsorisé**