Grande
Brune
Taille mannequin
Style classique mais classe

Douce
Aimable
Gentille
Pauser

Il y a vingt ans de cela, ce matin là, quand je me suis réveillé j’ai crue que ma vie serai parfaite et à jamais belle. Je me suis faite belle pour aller au lycée, les invitations pour le bal de fin d’année allaient commencé à être distribué et j’avais hâte de savoir si Dylan allait m’inviter. Il n’avait pas encore fait sa demande alors que la mâtiné va venir à son terme. Puis un coup de téléphone bouleversa toute ma vie. Mon père est arrivé le lycée, pour que je quitte le bâtiment avec lui, il devait m’annoncer la plus horrible des nouvelles. Ma mère venait de mourir dans un accident de voiture.

A cet instant ma vie change du tout au tout. Mon cher papa, se noie dans l’alcool, alors je fais de mon mieux pour que Eve et Adam ne soit pas plus toucher que ça sur les humeurs de mon père. Je prend soin d’eux comme maman aurait pu le faire. J’ai trouver un petit boulot, qui m’a permis de faire des cadeaux aux petits. Il y a eu des jours où j’avais vraiment l’impression que mon père était présent avec nous, mais ils étaient bien rare. L’unique moment où j’avais l’impression qu’il était « normal » c’est quand je me mettait devant le piano. Moi c’était le moment où je me sentais le plus proche de ma mère. C’est tout naturellement que je me suis trouvé un travail dans un magasin de musique. Dès que j’étais dans la boutique, je me sentais vivante et heureuse. Ian en étais la cause. Ian était un client avec qui je me suis lié d’amitié rapidement. Plus nous passions nos journée ensemble et plus l’amitié c’était transformé en amour. Je suis tombé follement amoureuse de lui, et je pensais que personne ne pouvait chambouler mon coeur. Il était à Ian et à personne d’autre.

Les années passèrent et à l’aube de mes dix huit ans, j’ai demandé la garde de mon frère et de ma sœur, ils ne pouvaient pas resté seul avec notre père. Plus je lui disais qu’il avait besoin d’aide, plus il buvait. Ce n’était pas un cadre idéal pour qu’ils continuent à grandir. J’ai donc trouver un petit appartement que je pouvais me payer, et assez grand pour nous trois. A minuit, et une minute j’ai signé les papiers, je n’avais plus qu’à les déposé. Six mois plus tard, un numéro inconnu essaie de me joindre, j’ai crue que c’était le juge qui me donnait sa décision, mais non, une nouvelle fois l’hôpital… Une fois la bas, on m’annonce que mon père a été victime d’une crise cardiaque, j’accuse l’alcool, mais on m’apprend que c’est résultat conclue à une sobriété depuis plusieurs mois… J’en suis resté bouche bée, il se reprend en main, et je ne sut si je devais y croire…

A mes 19 ans je rentre à la faculté de musique, mon père étant ayant repris le contrôle de sa vie pour le bien d’Adam et d’Eve. Je m’épanouis alors dans la musique, je voulais enfin penser à moi. Eve m’appeler très souvent, et je m’assurais que mon père s’occupe bien d’elle et de mon frère. Mais les services sociaux fessaient des visites surprises pour s’assurer qu’ils sont bien traité et que mon père ne buvait plus. C’était le cas, et j’ai pu continuer mes études plus sereinement, me consacrer à la musique et dédier ma vie à elle. Pendant ces années j’avais toujours ma relation avec Ian, malgré la distance qui nous séparaient, cependant les mails et les coups de téléphone, me fait peur, ça ne me suffisait plus. Mais je l’aimais comme une folle, jamais je ne pourrai aimer quelqu’un d’autre.

J’ai une un poste de professeur de musique, enseigner était vraiment un grand plaisir. Ian me manquait toujours énormément, mais nous nous éloignions de jour en jour pour mon plus grand malheur. Quelques années plus tard, toujours dans le lycée Limerick où j’enseignais je me suis fais avoir par un beau professeur de littérature. Il était charmant, amusant, et incroyablement sexy. J’ai tout de suite été séduite par lui. Stewart est un homme parfait, alors quand il me demande de l’épouser je n’hésite pas une seconde pour lui dire oui. Je suivis mon mari à Toronto il m’était difficile de laisser Adam et Eve, mais ils avaient leur vie, et mon père avait retrouver quelqu’un sui veillait sur lui.

Je ne repris pas l’enseignement, j’ai préféré m’occuper de mon fils, Fergus, je voulais qu’il soit heureux, et puis je ne voulais pas qu’une nounou s’occupe de lui, c’était à moi de lui donner tout ce qu’il avait besoin. De plus, Stew est un papa formidable, il était présent malgré ces cours, il prit soin de nous deux.
Alors quand je lui ai annoncer que j’étais enceinte à nouveau, il était l’homme le plus heureux du monde. J’ai donnée naissance à une petite Flora. Elle mis plus de temps à venir me rencontré, la grossesse m’a un peu plus fatigué, mais j’oubliais tout dès l’instant où je l’ai tenu dans mes bras.
Aujourd’hui ma petite famille grandit bien, je suis la plus heureuse des mamans et des femmes.

Le temps passe et les enfants grandissent. Aujourd’hui, je tourne un peu plus en rond à la maison la journée. Je voulais que mes enfants soient heureux et qu’ils ne manquent de rien. Stew fessait le nécessaire pour ça, il travail dur et tard le soir. Mais malgré tout, je réfléchis de plus en plus à reprendre une activité professionnel. Je n’ai rien perdu dans la musique, je me tiens toujours au courant des nouveautés, surtout avec mes enfants, je ne veux pas paraître trop vieux jeux avec mon Chopin ou encore Schubert. Cependant je devais me trouver une occupation et je ne vois que le travail pour combler mes longue journée sans les enfants. Et puis, dernièrement mon mari était différent, plus aussi souriant avec moi, malgré que j’étais toujours autant aux petits soins avec lui. Une chose était sur, je le connais mon homme, et ce dernier me cache quelque chose. Néanmoins, je ne lui pose pas de question, il doit avoir ses raisons, ou des ennuies à l’université et il ne veut as m’inquiéter avec ça… Cependant, plus Stew s ‘éloignait de moi, plus je me demandais si c’était une bonne chose de me marier avec lui à l’époque. J’aurai sûrement dut laisser une chance à Ian…

Plusieurs jours de réflexions m’ont permis de prendre une décision, mais je vais devoir en parler avec mon mari, ce n’était pas une petite décision de reprendre la transmission de la musique dans la même université que lui.