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 Stewart Murphy

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Stewart Murphy



Stewart Murphy


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MessageSujet: Stewart Murphy   Stewart Murphy EmptyJeu 22 Nov - 17:58

Stewart Murphy



SHOW YOURSELF

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BEAUTIFUL, ISN'T IT ?



•PHYSIQUE :
Grand, brun, yeux noirs, cheveux en bataille, des tatouages, chemises-pantalon, porte des lunettes... liste non exhaustive.

•CARACTERE :
Taciturne, ténébreux, dépressif, râleur, pas très expressif, ni très démonstratif, amoureux véhément, professionnel, travailleur, fier.

• TON HISTOIRE :
C’était un jour normal à l’université de Vancouver, il ne faisait ni chaud, ni beau. Depuis des jours et des semaines, la pluie avait élu domicile dans les nuages au-dessus de la ville et les habitants ne voulaient plus sortir de chez eux. Au moins, il ne neigeait pas. Il était de ces jours où le monde était en état stationnaire, où rien ne bougeait, où tout semblait en pause. Et parfois, durant ces moments de quiétude, on entendait un hurlement indicible. Le cri d’une femme, qui déchire le silence. Le coeur d’un homme qui s’arrête de battre et dont on jurerait entendre les battements manquants. Le hoquet de terreur d’un couple adultère à jamais marqué. Et surtout, ce silence, le silence étrange qui ne devrait pas avoir lieu. Le silence de mort, le silence d’une fin. Un silence terrible et douloureux, qui ne cesse jamais, qui ne quitte personne, qui empêche de dormir, angoissant et fiévreux, cauchemardesque, même.

Pourtant, la vie n’avait pas été indélicate et tourmentée pour le jeune quarantenaire. Il avait toujours réussi à avoir ce qu’il voulait. Enfant sage et un peu timide, il s’était réfugié dans les livres dès lors qu’il avait su lire. Il avait tout dévoré, en très peu de temps. Toute la littérature anglaise qui lui passait sous la main, tout ce qu’il était capable de lire, du haut de ses six ans, puis dix ans, puis quinze ans…

Durant ses études, après le secondaire, il avait rapidement conclu qu’il ne voulait et ne pouvait pas faire autre chose que d’apprendre encore et encore sur ce sujet qu’il aimait tant : la littérature anglaise. C’était sa passion, et ses années d’université passèrent extrêmement vite. En trois ans, il devint professeur dans un collège de la banlieue de Limerick. Un petit collège un peu nul, où les bons élèves se faisaient bully par les cancres, et où il était difficile pour un professeur de s’épanouir. La réalité l’avait rattrapé bien vite. Deux années passèrent et il évolua pour se retrouver dans un lycée, un peu plus réputé et mieux fréquenté. Là, les élèves se tenaient à carreaux et s’intéressaient à ce qu’il avait à leur apprendre. Cette période de sa vie fut la plus brillante : il ne donnait pas cours, il animait les personnages de ses livres, comme dans une pièce de théâtre. Il était le professeur le plus apprécié de l’établissement, par les élèves mais aussi par leurs parents. C’est également dans ce lycée privé de Limerick qu’il rencontra Helen Lynch.

Helen, une jeune professeur de musique, qui enseignait là. Son sang n’avait fait qu’un tour lorsqu’il l’avait vue pour la première fois. Tout comme la reine de Sparte, elle était la plus belle femme qu’il ait jamais vue. Des cheveux noir de jais, un visage fin et angélique, des yeux verts, un peu en amande, cette femme avait tout pour plaire. Discrète et timide, elle n’était elle-même que lorsqu’elle était en classe, devant ses élèves, et qu’elle leur expliquait et apprenait les rudiments de la musique, les différences entre tous les types de cette dernière.

Il se retrouva beaucoup en elle, parce qu’elle était aussi passionné que lui pour sa matière. Elle vivait à travers ses cours. Il ne lui fallut pas longtemps pour tomber éperdument amoureux d’elle, il ne lui en fallut pas plus pour la charmer et encore moins pour la demander en mariage. Helen était la femme de sa vie, il en était sûr et certain, il n’y avait même pas à douter. Lorsqu’elle devint Madame Helen Murphy, toute sa vie se peignit en rose, il devenait plus heureux que n’importe quel héros de fiction pour lequel l’histoire terminerait bien. Sur un coup de tête - peut-être complètement idiot, mais qui leur fit le plus grand bien -, Stewart accepta un poste qu'on lui proposait, à l'autre bout du monde et ils prirent la décision de quitter leur pays et de déménager au Canada, à Vancouver, plus précisément. La procédure fut plutôt longue, quitter l'Europe pour l'Amérique était une tâche plus difficile qu'ils ne l'auraient cru. En réalité, ils avaient tout un tas de papiers à remplir, des autorisations à aller chercher, des actes officiels à récupérer dans les mairies... A leur arrivée à Vancouver, la paperasse ne faisait que commencer et il leur fallut quelques années pour finalement être naturalisés. Le poste que Stewart avait accepté, à l'université de Vancouver, les aidait pas mal pour avoir des papiers, mais les administrations nécessitaient toutefois du temps, de l'argent et de la patience, malgré tout...

Deux ans après leur rencontre, ils donnèrent naissance à Fergus, qui fit leur immense fierté. Stew ne vivait que pour lui et Helen, même ses élèves passaient après. Il était devenu père, c’était tout ce qui comptait. La vie continua. Cinq ans plus tard, Helen fut de nouveau enceinte, une grossesse plus difficile cette fois : elle dut supporter des mois de nausées et de vomissements, à chaque trimestre, et un travail à l’hôpital de plus de quinze heures. La petite Flora ne voulait pas quitter le ventre de sa mère, aussi, quel fut leur bonheur quand ils entendirent enfin le premier cri de leur nouvelle née. Tout souriait pour ce jeune papa. Il avait deux beaux enfants, une femme parfaite, un job de rêve dans une université. Il avait une chaire dans la dite université ; une chose dont il rêvait depuis qu’il avait commencé à travailler. Rien ne pouvait entacher ce tableau.

Les années passèrent, cinq ans, puis cinq autres. Leur vie à Vancouver était toujours réglée comme du papier à musique, ils étaient heureux, tous les quatre. Stewart était apprécié par le corps enseignant, par les étudiants, il travaillait sur des recherches absolument intéressantes en parallèle des cours qu’il donnait et s’accordait parfois quelques colloques à l’autre bout du Canada ou bien aux Etats Unis. Helen, quant à elle, s’était trouvé une place dans un lycée de la banlieue dans laquelle la petite famille vivait. Les enfants avaient de bonnes notes à l’école, étaient curieux de tout, grandissaient bien. Mais la crise de la quarantaine peut toucher même les meilleurs hommes du monde, les plus parfaits pères de famille.

Et quand la vague est plus haute et plus forte qu’à l’habitude, il est difficile de garder les pieds sur terre. A l’université, Stewart était en contact avec des gens de tous les âges, le plus souvent des jeunes gens, d’une vingtaine d’année, mais également des moins jeunes, en reprise d’études. Il y avait une telle diversité que parfois, on s’y perdait à essayer de démêler les professeurs des étudiants. Et puis, il y avait eu cette fille… cette femme. Cette perle d’une grande beauté, une sirène qui allait le faire flancher, qui détenait en elle une profondeur qui le rendait fou. Elle était étudiante, et il avait suffi de quelques cours particuliers pour mettre le feu à leur passion. A la base, tout ce qu’il voulait, c’était l’aider pour ses recherches, pour qu’elle puisse réussir une dissertation particulièrement ardue. Leur histoire s’était terminée par des parties de jambes en l’air passionnelles et amoureuses dans le bureau de Stewart, les stores tirés, bien opaques. Ludivine lui faisait oublier Helen, lui faisait oublier ses enfants, comme si rien de sa vie n’avait existé avant elle, comme s’il était né pour la retrouver. Elle était de plus de vingt ans sa cadette, et il savait que c’était mal, il savait qu’il avait tout faux, dans l’histoire, mais il était tout bonnement fou amoureux d’elle. Et puis, tout s’était accéléré, il lui avait promis d’un jour quitter sa femme, mais n’arrivait pas du tout à s’y résoudre, parce qu’à chaque fois qu’il rentrait à la maison, chaque soir, il voyait ses enfants et son épouse être heureux ensemble, il ne pouvait même pas s’imaginer quitter Helen. Seulement, en quelques mois supplémentaires, Ludivine tomba enceinte. Ce fut un choc pour Stewart, qui ne s’imaginait pas devenir père une troisième fois dans sa vie… C’était évident, il allait quitter Helen, leurs enfants étaient grands, et il aimait tellement Ludivine, jamais il ne pourrait la quitter, elle…

Mais il y avait eu ce jour, le pire jour de sa vie, le jour où il avait perdu sa double vie et qu’il savait que tout allait en être chamboulé. Ludivine avait accouché, tout allait bien. Leur fils les rendait heureux, tous les deux. Stewart était toujours marié, mais il continuait de dire à Ludi qu’il allait quitter sa femme, qu’ils vivraient tous les deux, que tout irait bien… qu’ils formeraient une famille. Alors, quand il l’avait vue arriver dans son bureau, le teint blême, le regard vide, et surtout seule, il avait compris que quelque chose n’allait pas, et n’irait plus jamais. Tout s’était passé très vite, trop vite, et il était bien trop tard quand Ludivine avait compris que quelque chose n’allait pas avec son bébé. Avant qu’elle ne puisse appeler les secours, elle avait compris : les lèvres bleues de son fils, ses petits doigts tout rigides… il était mort, durant son sommeil…

Alors bien sûr, Stewart était dévasté, mais voulait rester fort pour elle, Ludivine ne dormait plus, ne mangeait plus, ne vivait plus… On pense que le temps va passer et que ça va se tasser, qu’on oubliera… c’est faux, et, à l’époque, ils le savaient tous les deux. Cependant, leur idylle était compromise et le feu qui les animait s’était éteint.. Helen n’en sut jamais rien, et Stew ne savait même pas si elle avait soupçonné quelque chose. Après tout, il n’était sûrement pas très discret.. et avec ce qu’il s’était passé… cette perte… il avait forcément été plus transparent que du verre. Ludivine était incroyable, et il ne pouvait cesser de penser à elle du jour au lendemain… quand bien même, après l'avoir cherchée partout dans Vancouver, il avait dû se rendre à l'évidence qu'elle était partie, sans laisser d'adresse.

Bien sûr, Stewart l’aime encore, sa jolie blonde. Autant qu’il aime sa femme, et s’il était possible, dans une société moderne, d’aimer deux femmes à la fois, il serait le plus heureux du monde. Bien sûr que s’il fallait choisir, il choisirait Ludivine, envers et contre tout. Bien sûr qu’il crève d’envie de la faire sienne et de l’embrasser à chaque fois qu'il pense à elle. Bien sûr qu’il a peur pour elle, quand il l’imagine seule chez elle, déprimée et lessivée par la vie. Bien sûr qu’il est lui-même déprimé et lessivé par la vie. Et bien sûr qu’il a peur qu’un jour elle retrouve un autre homme, qu’elle aimerait plus que lui…


BEDIND THE SCREEN



PRENOM; clem
ÂGE; 23
TON AVIS SUR LE FORUM;  Stewart Murphy 1433118787
TES GOUTS (musique, films, séries); only george michael can judge me
AUTRE CHOSE ? attrapez les tous!
CODE A REMPLIR;

Code:
Colin Farrell • Stewart Murphy
Code:
Stewart Murphy  • TOWN OUTSIDERS




©️ maxou'
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Flora Murphy



Flora Murphy


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CREDIT : Bazzart - Littledidou
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MessageSujet: Re: Stewart Murphy   Stewart Murphy EmptyJeu 22 Nov - 18:17

Mon petit papounet Stewart Murphy 3179612465
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Stewart Murphy



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MessageSujet: Re: Stewart Murphy   Stewart Murphy EmptyJeu 22 Nov - 20:42

Ma fille chérie Stewart Murphy 2672737791 Stewart Murphy 2672737791 Stewart Murphy 2672737791 Stewart Murphy 2672737791
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Helen Lynch Murphy



Helen Lynch Murphy


DISCUSSIONS : 74
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MessageSujet: Re: Stewart Murphy   Stewart Murphy EmptyJeu 22 Nov - 20:59

Cher époux !
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Fergus Murphy



Fergus Murphy


DISCUSSIONS : 71
CREDIT : Bazzart : Lydie
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MessageSujet: Re: Stewart Murphy   Stewart Murphy EmptyVen 23 Nov - 13:43

Hi Dad Stewart Murphy 3188611241
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Olivier Simon Metcalfe



Olivier Simon Metcalfe


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MessageSujet: Re: Stewart Murphy   Stewart Murphy EmptyDim 9 Déc - 19:23

Voilà je pense avoir fait connaissance avec la famille Murphy au complet Stewart Murphy 382200944
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